Dans ton giron, Ali
Ton frère a fermé ses yeux
Il a fait ses derniers adieux
Ton unique soutien a disparu
Et l'amertume t'étouffe.
Ô Messager d'Allah
Ton chagrin augmenta
Aux derniers instants de ta vie
Lorsque des pensées amères se tinrent
Devant toi
L'oppression que subira ta fille Fatima
Le meurtre de ton frère Ali
Celui de Hassan
Et la génocide de Karbala
Dès lors, tu les pleura
Tes faux compagnons attendaient
Le moment où tu quitteras
ce monde
A Saquifa
A ce maudit endroit
Ils se précipitèrent
Pour que leur rancune grandisse
Mais le plus lamentable
Lorsque un maudit déclara
Que tu délirais
Cet homme ne connut jamais
Ta sainteté
Lorsque sa haine déferla sur toi
Ô Messager d'Allah
Un jour
Tu leur reprochera
Ce qu'ils ont commis
comme injustice
Contre toi
Tu leur interdiras de s'approcher
De ton bassin
Où tu donneras à boire
À tes bien-aimés
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