Un poème pour ''Arbeïn''

Des cris qui s'élèvent autour de ta tombe

Alors que, dans ton sang, tu succombes

Hussain, la séparation est dure

Mais ta rencontre soulage la peine du cœur

 

Je n'aurais jamais imaginé le jour où la famille revint

Il ne se résume point

Arbeïn, un autre Achoura qui suscite l'amertume

On n'y voit qu'une douleur qui s'abîme

 

Que le temps s'arrête, au seuil d'Arbeïn

Que tous les fidèles vivent ce chagrin pertinent

Des souvenirs qui ne s'échappent pas de nos pensées

 **********

Ô Jour d'Arbeïn, tu fends encore nos cœurs

Tu ne cesseras jamais de faire jaillir nos pleurs

La famille prophétiques s'y rendit

Pour rendre hommages à des fidèles martyrisés

 

 

Ô jour d'Arbeïn, nous ne t'oublions jamais

Même si nous serions tous égorgés

Arbeïn, tu représentes un pacte de fidélité

Qui revivifie nos esprits accablés

Qui, sans toi, n'ont qu'à mourir désespérés