Sur la rivière
Ils ont égorgé la fraternité
Qui sanglota
Dans sa fidélité.
Lorsque tu as rendu l'âme
Ta lumière dispersa l'obscurité
Ces maudits ignobles s'enfuyaient
De peur qu'ils ne soient exterminés.
À côté de la rivière
Tu as laissé deux mains
Qui ont arrosé la terre
De ton sang pur.
Des mains qui brillent
Comme des phares qui rient.
L'eau, tu n'as jamais voulu en boire
Elle te supplia de la toucher
Et qu'elle soit fière pour toujours
De ce geste
qui ne se répète point.
Ô Abu al-Fadhil (as)
Ton frère Hussain (as)
Larmes aux yeux
Chagrin au cœur
S'approcha de toi
Pour te faire ses adieux.
Hélas ! il était plongé dans son deuil
Eternel .
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