O Ali, cramponne-toi à la patience, L'imminent est tombé, Dans le deuil, tu aurais succombé, Si longue, paraissait son absence, De durs moments, qui ne manquent pas d'espérance, Devant la mort, tout s'est courbé, Il ne leur reste que les pleurs se sont envolés, Pour s'en remettre à Allah en pleine obéissance, Ton départ Fatima, brisa leurs cœurs, Mais, le paradis sera ta demeure, O dame des dames, accorde-nous tes bienfaits, Dans tes dou'as, souviens-toi de tes bien-aimés, Pour défendre ta cause, ils ne seront jamais blâmés, Jusqu'à ce que tes fidèles en soient satisfaits.
Jaafar sadeq
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