Je me rends chez le fils de l'Honnête([1]),
Mon pays est-là, mon pays est-là,
Là où il passa la nuit, était la grande certitude
, demeure est-là Ma demeure est-là,
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Le fils de Taha (l'élu) s'est installé
À Machhad, au-dessous des cieux,
O celui dont la bonté est immense, O al-Ridha
Le paradis est dans mon cœur lorsque je te vois,
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La nuit pleure en silence,
L'œil cherche un amant
Les larmes du triste lui répondent,
Il est-là, dans la ville de Tos, étranger,
À l'heure obscurcie du ''Sahar'', je suis perplexe,
D'où est venu le secret de cette maladie !
J'ai entendu mon cœur chanter,
Ivre, et le grand amour l'a tué,
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O mon Maître, prends-moi dans ton navire,
Les vagues, autour de moi, sont immenses
Tu es le salut, tu es la voie droite
Qu'as-fait tu pour que tu sois captif ?
Quel péché le Masjid a-t-il commis ?
À cause de ton départ, Tiba est devenue désertique,
O fils du Prophète Mohammad,
Tu es l'éveil,
Sublime, qui provient du secret du Qunût
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Demeure, O mon maître, dans notre appel, un cri
L'oppression survit lorsqu'on se tait
L'aube est voilée, lorsqu'elle craint la mort
La vérité ne perdure que par les sacrifices et l'abnégation
Jaafar Sadeq
[1] ) Le Prophète Mohammad
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