Otossomo Okada, écrivain littéraire et journaliste japonais, expose la foison des sentiments, des mots et des images descriptives dont il a utilisées sur son chemin littéraire, que ce soit le roman ou l’article, qui se distingue de l’abondance des mots et des expressions tirées de l’environnement dans lequel il vivait à l’époque (Al-HuriyaAç-çâniya située à Bagdad, la capitale irakienne). Il écrit dans sa langue maternelle, et s’exprime en dialecte irakien. En fait, il a écrit trois romans sur la beauté de l’Irak, et la délicatesse de son peuple intitulés : (Al-Huriya Aç-çâniya), (Wâdi Ar-Râfidîne), (Bagdad fi A-Mâdiwa Al-Hâdir).
- quelle est votre impression à l’égard de la littérature irakienne ?
en ce qui concerne la littérature en Irak s’avance graduellement d’une façon conforme avec l’étape du conflit sécuritaire et des attaques dont l’Irak fait face d’une manière générale. Toutefois, je préfère que les pas à venir soient plus vastes, notamment dans les zones stables relativement. Et je souhaite qu’on organise de nombreuses activités culturelles du fait de la situation dans laquelle nous sommes, et qui se distingue de défit et de conflit continuels qui incitent à exploiter toutes les forces littéraires, culturelles, politiques et militaires afin de donner la meilleure et la plus proche image de la réalité irakienne. En fait, je m’intéresse de la réalité de la vie irakienne, alors j’ai publié sur de nombreux journaux et sites électroniques beaucoup d’articles et de romans concernant l’Irak, plus particulièrement la culture irakienne et l’Islam en Irak. Et peut-être les plus importants de mes écrits dans ce domaine sont : (A l-Huriya Aç-çâniya), (Wâdi Ar-Râfidîne), (Bagdad fi A-Mâdiwa Al-Hâdir).
- quelles sont les activités les plus importantes dont vous avez effectuées durant les cinq années de votre séjour en Irak ?
Okada : durant mon séjour en Irak, j’ai effectué de nombreuses études et d’écriture par rapport à la culture irakienne, aux éthiques et aux conduites portées par ce peuple de confession musulmane qui est considérée la plus belle croyance dans le monde. Puisque, en réalité la manière dont les musulmans s’attachent à leur religion consiste en droit chemin. Après mon retour à Tokyo, j’ai revisité l’Irak plusieurs fois (1990-2000-2012-2015), et cela est dû à l’amour, au respect, et à l’importance que j’accorde à la civilisation de Mésopotamie.
- Votre travail consistait-il en quoi dans les autres provinces ?
Okada : je vivais un an et demi dans la ville sainte de Najaf, et j’ai été le Directeur de l’Hôpital Général de Najaf. Et je visitais souvent à Karbala où j’apprenais des habitants de cette sainte ville la générosité, l’hospitalité, l’indulgence, et leur attachement aux croyances islamiques. En fait, ils sont des hommes de valeurs, des héroïques par rapport au refus de l’oppression. Et en comparant la ville de Karbala actuelle, et celle de 2003, nous y remarquons un grand changement en termes d’infrastructure et de civilisation.
- qu’est-ce qui définit votre attachement à l’Imam Hussein (as) ?
Okada : depuis que je suis venu en Irak, j’ai entendu parler de l’histoire de la martyre de l’Imam Hussein (as), qui, je l’aime et je respecte beaucoup en vertu de son attitude pour défendre sa religion et sa croyance jusqu’à ce qu’Il se sacrifiait et ses enfants, sa familles, et ses compagnons au nom de l’honneur contre l’oppression et la tyrannie. C’est pourquoi, tous les musulmans, plutôt toutes les religions doivent prendre des leçons et des enseignements de l’Imam Hussein (as), pour but d’anéantir toutes les organisations terroristes. Ainsi que continuer leur chemin Husseinite avec des slogans religieux comme nous en constatons durant Achoura, et également le pèlerinage du quarantième jour du martyre de l’Imam Hussein à Karbala dont des millions d’adeptes d’Ahlul-Bayt participent de l’intérieur aussi bien que de l’extérieur de l’Irak, pour but de glorifier ce grand homme héroïque, exceptionnel, et magnanime, et qui sauvait la religion islamique.
- en sachant que le Japon s’intéresse de l’aspect culturel et des croyances, alors quelle est son impression vis-à-vis à l’Irak ?
Le peuple japonais accorde une grande importance aux affaires irakiennes, notamment à la religion Islamique qui est considérée comme un élément important parmi les éléments de la continuité de la civilisation de Mésopotamie concernant son aspect historique éclatant. Et en ce qui touche l’Etat japonais, il met l’Irak au premier rang en termes de la culture, de la civilisation, de l’histoire, et des croyances religieuses. Et cela est évidente à travers de la Conférence Mondiale(Al-Wahid Al-Bahbahani),qui nous a donné davantage des importantes novelles informations à l’égard des pionniers des Oulémas Chiites qui ont laissé leurs empreintes palpables et intemporelles sur la vie des gens. Et la ville sainte de Karbala jouit d’un aspect historique, religieux et de la civilisation.
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