Chers amis : comme nous avons prévu, avant quelques jours, dans un autre poste, que le discours de la prière de Vendredi discuterait ,dans les prières prochaines des Vendredis, des paragraphes tirés du message de L'imam Ali (SSSL) adressé à Ottoman Bin Hanif , son Wali de la ville "Bassra" .
Dès lors nous avons dit : il était probable que l'orateur de la prière de Vendredi nous fasse entendre, dans les prières à venir, des paragraphes tirés du message de l'imam Ali, adressé à Ottoman Bin Hanif et envoyé à lui après que l'imam aie été informé qu'Ottoman répondit à un régal préparé seulement aux riches et aux notables ,pour que ce message soit un argument décisif parmi les arguments adressés par l'autorité religieuse suprême à Najaf , aux politiciens de "coïncidence" * , afin qu'ils se rappellent et qu'ils reviennent à Allah avec un repentir sincère .
Alors, l'orateur a abordé ce message dont j'ai relaté des paragraphes et ça faisait le déshonneur qui toucherait ces politiciens, sans pareil pour toujours. Nous nous plaignons auprès Allah.
Son éminence Al-Sayed Ahmed Al-Safi (qu'Allah le protège) a mentionné ces paragraphes de ce message pour envoyer un rappel aux politiciens pour les invertir de leur grande subordination à cette vie éphémère, sans s'intéresser aux droits des gens. Quelle jolie citation utilisée par son éminence Al-Sayed quand il rapportait le propos de l'imam Ali : " me suffit –il qu'on me dise " émir des croyants" alors que je ne partage pas avec eux les désastres de la vie ou que je sois leur exemple à suivre ! ".
L'autorité religieuse blâme dans son discours, ceux qui trônent les hautes fonctions de l'état, comme le président de la république ou le premier ministre ou encore un membre dans le parlement irakien, de ne pas partager les difficultés de la vie avec les irakiens alors que l'Irak passe dans une condition économique très difficile.
Le message rappelle les politiciens irakiens que l'imam Ali, qui était l'imam pour les chiites et le successeur du prophète pour les sunnites, se contentait de sa vie par deux vêtements et de son manger par deux pièces de pain. On ne vous surcharge pas de ce que vous ne pouvez pas faire mais aidez –nous de montrer d'une pitié, d'une jurisprudence et d'une suffisance et que cette vie et ses courts bénéfices ne vous détournent de se préoccuper à ce peuple privé.
Al-Sayed Al-Safi a achevé son discours en adressant son salut à l'émir des croyants en lui qualifiant comme " l'imam des pauvres ", en espérant que ces politiciens se préoccupent des affaires du peuple.
*terme par le quel on désigne les politiciens incompétents.
اترك تعليق