Jacob Olidort a écrit à l'institut de Washington :''il est supposé que les identités sectaires se forment dans le moyen orient, avant plusieurs siècles. Cependant, ça parait que ces identités engendrent actuellement les conflits les plus sanguins dans la région. Quand l'Iran soutenait le président syrien Bashar Al-Assad en Syrie et les partisans d'Allah au Yémen, le royaume arabe saoudien a mené une stratégie pour les faire chuter.
Auparavant les tensions ont augmenté. La mort du savant chiite, le Cheikh Namer AL-Namer, tué par l'Arabie saoudite qui le prétend terroriste, a produit une grande colère en Iran et dès que les chiites ont protesté, parfois d'une manière sévère, en Iran et en Arabie saoudite, le royaume a expulsé les diplomates iraniens hors de ses terrains. Franchement, le conflit dans la région est plus grand qu'une simple guerre sectaire.
Le discours saoudien par exemple, gouverné profondément par le wahhabisme est tout à fait différent du procédé dont DAESH dispose face à l'inimitié des chiites aux fins d'exploiter les oppressions politiques et économiques contre le régime chiite, Alawite d'AL-Assad.
En fait, dans ce cadre, des types variés du sectarisme sont insérés. Des groupes et des pays ont fusionné les sujets sectaires au tissu des systèmes politique, culturel et didactique. Autrement dit, le timbre institutionnel a été ajouté au sectarisme. Certainement, l'Arabie saoudite et son inimitié face aux chiites qui remonte à plusieurs siècles, constitue un exemple évident. Mohammed ibn Abd Al-Waheb, le fondateur du wahhabisme, a fait de l'inimitié contre le chiisme, un composant essentiel dans sa doctrine.
De même, quelques groupes non- gouvernementaux, par exemple les salafis, ont introduit le timbre institutionnel à son sectarisme. Ces salafis prétendent qu'ils tiennent à la version de la libre compréhension de la foi que les prophètes et ses proches adeptes ont suivie.''
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