Le créateur Ibrahim Al Nakache :le style urbain de tombeaux sacrés est une source de révélation .

 

   La sculpture sur le bois, est l'un des arts plastiques dans lesquels l'artiste Ibrahim a créée, cet artiste a fait parler le bois avec le langage de la beauté. Il a bien compris les principes de cet art depuis son enfance précoce. Il a poli son talent à l'institut de beaux arts à Bagdad .Il a été encouragé par ses siens, collègues, professeurs, y compris  son prof .Mahmoud Al fakry  et d'autres artistes comme Myran al Saadi ,Djamil Hamoudy ,et Hamid al Saeid. Il est actuellement le chef de département de la sculpture à l'institut de beaux arts .

 

Al nakach est artiste s'est  servi la creation pour s'en inspirer l'héritage original  irakien .Il le fait entrer dans dans ses tableaux de  sculpture par des formes qui plaisent à celui qui les regarde. Si vous regarde bien ses œuvres qui font parler le passé des ruelles de la ville de Kadimyah ,vous vous trouvez comme si vous marchiez dans ses vieux  chemins  ,en fixant le regard les visages de ses habitants qui la vie se glissait soudainement  en eux ,imitaient les vendeurs .ils se sont assis dans les cafés ,le garçon a attiré votre attention en servant les  clients ….Et beaucoup de paysages traditionnels qui sont été incarnés dans ses tableaux en  vision créativité originale

Ibrahim a voyagé partout, avec ses tableaux, dans le monde .Ses tableaux se déplacent dans beaucoup d'expositions internationales, soit en France, en Angleterre, Turquie, Espagne et Iran. Il y transporte ses sentiments et ce que ses mains ont sculpté .Des peintures se révèlent d'une beauté des images artistiques considérées aujourd'hui comme des œuvres précieuses selon les témoins des plus grands sculpteurs du monde entier ….

L'artiste, né à Bagdad en 1952,il est frère de sept garçons ,il  grandit dans les ruelles de   Kadimya ,une ville sacrée se trouve à Bagdad. Il a adoré sa ville natale .Il se met à ingénier les tableaux sculptés à cette ville traditionnelle.

Nous essayons de pénétrer son univers à travers cet entretien :

Q- Monsieur Nakache où était le début? En quoi consiste le secret  de votre passion pour l'héritage de Khadmya ?

R- C'est ce style  architectural selon  lequel  ,le sanctuaire sacré, de ma ville se construit ,est la   source première de mon  inspiration .Cette  merveilleuse  maçonnerie noble demeure grandir en sublimation en moi jusqu'au ciel  .J'inspire aussi de ma maison où j'ai grandi dans l'amour de l'héritage .Cette maison porte les traces  du style traditionnel ,comme les "chanachiles,  comme la véranda ,mais est couvert par des bois sous une forme de croix  l'une dans l'autre  pour éviter d'être vu tout entier " et comme les arches .Cette histoire  se suinte d'originel ,on considère  notre comme un éternel  et la mort disparue ,  dont les traces demeurent avec ses bons caractères .Le vocabulaire  quotidien reste sans changement, comme il est ….

Q--Où as-tu étudié et quelles étaient vos œuvres premières ? Et quelles réactions ont- elles suscité chez les autres ?

R-J'ai appris l'art d'ornementation de mon prof ,Mahmoud  Al fakeri ,qui était l'artiste unique de son époque dans ce domaine .Tout petit enfant ,j'étais passionné par l'observation de ses mains ,je me  profite de son absence pour utiliser ses outils, ainsi comme ce qu'il fait,pour graver des ornementations sur les bois. Un jour ce que je fait lui plait .il s'intéressait  surtout à y voir la  perfectionnement de ce qu’il ne fait pas lui .Il me pose une question de savoir le faiseur de ce qu'il a vu .J'était obligé de lui informer en plein peur et honte de ce que je fais  sans son insu  .Il m’a  contentement  surpris   .Ce qui n'arrive pas à mon esprit. Ses paroles sonnaillent encore à mes oreilles en tapant sur les épaules. Il m'a dit "ton travail est  un germe d'un grand artiste qui aurait  une grande importance  ".  J'aurais donc aimé  pour toujours qu'il soit vivant pour bien assister à mes œuvres qu'il avait prédites ..

A- Quelles vos œuvres qui imitent précisément l'héritage de Kadhmya ?

R- j'ai  porté le surnom d Alnakache depuis 1964 ,en même temps j'avait porté un vœu sublime qui depasse tout autre ,voire il dépasse l'univers dans sa totalité; d'une part c'est d'avoir la chance pour  servir au sanctuaire de deux imams " Al Kadhim et Al Jawad" pour l'amour pur d'eux  ,d'une autre part ,pour la participation afin que ce sanctuaire se montre merveilleusement  ,sans penser à  aucune gloire personnelle  . En fait , cette occasion que j'attends pendant  dés décennies n'arrive que lorsqu'on fait parvenir le nouveau mausolée .Un comité se forme  donc  ,on jette l'ancre sur moi pour les travaux du maintien les deux  anciens caissons âgés plus de cinq siècles .Un grand bonheur ineffable  me submerge ,j'ai retroussé les manches .J'ai demande secours de mon ami ,l'artiste original ,"samir Al khzregi" pour  commencer le travail du maintien .

laissées par  la négligence et l' ancienneté . On a rapporté beaucoup de planches, différentes dans la volume ,mais nous sommes tous d'accord sur la valeur de  leur sacralisation  et leur ancienneté qui dépassent tout prix .

Q- est-ce que la ville de kademya ,c'est elle qui a créée vos images ? Est –ce que le sculpteur  s'est –il approché du  poète qui incarne ses sensations et ses sentiments dans la composition de la poésie ?

R- je suis en ma qualité d'irakien ,j'adore l'Irak ,tout entier  avec toutes ses villes ,toute région ,j'aime tellement la montagne .Je regarde les marées  avec une grande passion. j'aime les dattiers.je souhaiterait qu’un pont de dattiers s'étende de moi jusqu' à Samarra .Ce métier m'a expliqué   que les choses les plus attachée de plus près à mes œuvres ,sont une   maisons de Ninive ,noria d'une compagne  et les églises de Bagdad .Tout cela s'étend sur la terre d'une patrie unique que mon cœur l'entoure..Mais Al Kadimya est un cas spécial, car j’y mène la vie. Et à cause de  la bonté  et l'originalité de sa peuple  et son maintien les bonnes  traditions mes tableaux deviennent comme un ambassadeur dans le monde entier .Cet ambassadeur déplace ,comme un porte-parole ,d'une région à une autre ,pour devenir un révélateur des ses traits distinctifs, de ses belles ruelles  et de son histoire. Mon atelier modeste  se change en cible visée par les touristes qui cherchent y visiter pour vivre les ambiances de Kadymia  et les autres régions irakiennes  que mes tableaux incarnent .Un  des irakiens m'a dit qu'un seul de mes tableaux  dépasse de beaucoup l'influence des dizaine de chansons intimes et les centaines de discours qui suscitent la nostalgie   des émigrants pour leur patrie  .

Q-Voyez -vous que vous touchez l'apogée de votre création, ou trouvez –vous qu'il y en aura encore beaucoup plus qui attendrait le jour ?

R- Quand l'artiste s'arrête, sa fin se précipite vers lui. Et qui se voit qu'il attend l'apogée ,en effet ,il rode  dans les ravins ,il se piétine au versant. Sans exagération je peux dire que je suis encore au début  de mon métier .J'ai encore des projets que les obstacle les empêchent de se réaliser .Un de mes vœux dont je rêve réaliser ,c'est  destiner une maison traditionnelle serait comme un musée  et école pour comprendre les talents à la fois pour être une garantie  pour la durée de cet art ,pour à la fin l'améliorer en possédant  les moyens les plus développés qui imitent l'évolution courante dans les autres pays   .Ces pays  sauvegardent leurs monuments pour longtemps. Mais on ne fait pas chez nous le même souci de préserver nos monuments historiques, notamment au cours de dernières années, sans que la plupart parmi nous ne comprenne pas  que les ruelles anciennes sont hantées par l'histoire irakienne . L'action de sa démolition n'est qu'une lacune dans cette histoire .La peinture et la sculpture sont un art par lequel l'artiste s'approche pour incarner ses sensations, ce qu'il ressent et ce qui tourne dans sa tête de l'héritage dont il est contemporain  , ce héritage se met à disparaitre ,ainsi le poète s'arrête au près des ruines pour les faire parler en imitant les lieux de l'enfance vécu